Question pour un champion !
Je suis le vecteur d’information le plus influent de notre société …. Je suis gratuit … On me qualifie souvent d’outil du marketing viral ….
Je suis ? Je suis ? Le bouche-à-oreille.
Au moment d’envisager un achat, il est estimé que les deux tiers des personnes prennent leur décision en se tournant vers ceux en qui elles ont confiance : famille, ami, collègues de bureau… La publicité est donc secondaire.
C’est pourquoi les marques essaient toutes de créer de la discussion, le “buzz” et donc du bouche-à-oreille. Sources : Sondage Ispsos-Espilon de fin 2013 sur l’influence de la publicité :
- Radio : 11%.
- Télévision : 21%
- Sites d’avis en ligne : 37%
- Conjoints : 38% (sic !)
- Famille : 52%
- Amis : 54%
Pourtant la publicité et le bouche à oreille entretiennent des liens étroits et complexes, l’un ne va pas sans l’autre. voici un exemple de solution com’ impactant le bouche à oreille.
Le Marketing viral.
Malgré une appellation anxiogène rappelant les virus informatiques, le marketing viral est inoffensif. L’idée est, comme le fonctionnement d’un rhume, de “contaminer” une personne qui contaminera elle-même plusieurs personnes et ainsi de suite, créant une dynamique exponentielle. Vu les chiffres cités plus haut, pourquoi se priver de cet outil marketing me direz-vous ?
Effectivement, plutôt que d’attendre les retombées aléatoires, sachez l’organiser et l’utiliser de façon méthodique, créez un attachement émotionnel très fort avec son public en générant de la passion et de l’enthousiasme.
Le Buzz
On peut influencer de manière détournée l’opinion par des techniques telles que la caméra cachée et le « story telling ». Ce sont alors les réseaux sociaux qui répandent l’information à une vitesse grand « V ».
Mais attention, il faut cependant connaitre le danger de tels moyens. On peut facilement imaginer les dégâts que pourraient causer un “Bad Buzz” en terme de communication.
Think global, work local
Pour mener à bien votre campagne de communication et il faut penser de manière globale pour un impact local. Il faut tenir compte des habitudes comportementales et sociale de votre public cible.
Voici trois axes de réflexion :
- l’axe descendant direct. C’est l’impact direct de la publicité sur la perception, l’image et l’achat. C’est l’angle d’attaque traditionnel, les résultats quantifiables.
- l’axe descendant indirect. C’est l’impact de la publicité sur le bouche à oreille, non pas sur l’individu mais sur la masse connectée. Si cet angle est négligé il est possible d’être soumis à une critique négative.
- l’axe ascendant. C’est savoir évaluer l’impact du bouche à oreille sur la publicité et rectifier ou prolonger l’action menée. C’est aussi la possibilité de développer une stratégie efficace sur le long terme.
Bref !
Vous l’aurez compris, il convient de traiter ce sujet du bouche-à-oreille, de la façon la plus sérieuse et professionnelle possible. Bien qu’il s’agisse du mode de communication le plus efficace, c’est aussi le plus dangereux car potentiellement sujet à beaucoup de distorsions, de pertes en ligne et de lenteurs et d’aléas qui peuvent contrarier vos objectifs.
Source: 1mn30